Je suis prolixe ! J'ai des tas de choses sans intérêt à raconter. J'aurais sans doute encore plus de choses à dire et à écrire, si j'en avais le temps. Las, une foule de menues activités me tient éloignée de ce blog. Mais vous constaterez que je ne l'oublie pas.
Dans les blogs que je préfère, figure en bonne place celui du psy parisien. Dernièrement son article intitulé Commémoration m'a entraînée dans une déferlante de nostalgie. Il nous explique qu'il honora de sa présence, le bicentenaire du martyre de notre bon Roi Louis le seizième, en se rendant place de la Concorde le 21 juin 1993.
Il se trouve que j'y étais ! Bien que largement plus jeune que notre cher psy parisien, je n'aurais manqué cette cérémonie pour rien au monde. Toutefois, je décidai d'y assister seule. Solitaire dans l'âme, je n'ai jamais aimé la compagnie des roycos cravatés que mon milieu et mon adresse parisienne me font si souvent rencontrer et parfois fréquenter. C'est ainsi que solitaire et anonyme dans la masse, j'étais moi aussi venue à cette cérémonie digne et touchante. Vêtue de noir, mais sans ostentation pour ne pas sombrer dans le grand guignol, je crois que j'étais vraiment très belle !
Bien que je clame mon libéralisme depuis peu, et que je ne doute à aucun moment de mes convictions, je n'abandonne pas pour autant mes spécificités. Vous ne me verrez jamais discourir d'économie. Ma vie, ce sont les livres, dans lesquels je plonge mes yeux de myope à longueur de journée.
Si je ne doute pas un instant des bienfaits économiques du libéralisme, c'est plutôt sa doctrine philosophique qui retient mon attention et m'attire. Je crois fermement au libre arbitre. Et depuis toujours, je sais que charité et solidarité sont deux mots différents. Le premier est d'essence divine et fait des merveilles, le second me semble parfois diabolique et entraîne trop souvent l'injustice et la misère.
C'est pourquoi, bien qu'auréolée de mes convictions libéralistes toutes neuves, je n'ai pas abandonné pour autant mes anciennes convictions. Je crois, que tout au fond de moi, je reste une monarchiste convaincue.
On serait tenté de me demander comment on peut concilier dans un même cerveau deux systèmes apparemment aussi antinomiques. Je répondrai simplement que moi, j'y parviens. Sans doute est-ce dû à mon imagination fébrile.
Après tout, si lorsque plongée dans un roman passionnant, je suis capable de m'identifier à des héros de papier, pourquoi ne serais-je pas capable d'être à la fois monarchiste et libérale ? L'imagination peut tout ! Alors vive le Roi et le libéralisme !
Croyez-le ou non, je suis même capable d'imaginer que mes babillages peuvent intéresser des lecteurs !
Dans les blogs que je préfère, figure en bonne place celui du psy parisien. Dernièrement son article intitulé Commémoration m'a entraînée dans une déferlante de nostalgie. Il nous explique qu'il honora de sa présence, le bicentenaire du martyre de notre bon Roi Louis le seizième, en se rendant place de la Concorde le 21 juin 1993.
Il se trouve que j'y étais ! Bien que largement plus jeune que notre cher psy parisien, je n'aurais manqué cette cérémonie pour rien au monde. Toutefois, je décidai d'y assister seule. Solitaire dans l'âme, je n'ai jamais aimé la compagnie des roycos cravatés que mon milieu et mon adresse parisienne me font si souvent rencontrer et parfois fréquenter. C'est ainsi que solitaire et anonyme dans la masse, j'étais moi aussi venue à cette cérémonie digne et touchante. Vêtue de noir, mais sans ostentation pour ne pas sombrer dans le grand guignol, je crois que j'étais vraiment très belle !
Bien que je clame mon libéralisme depuis peu, et que je ne doute à aucun moment de mes convictions, je n'abandonne pas pour autant mes spécificités. Vous ne me verrez jamais discourir d'économie. Ma vie, ce sont les livres, dans lesquels je plonge mes yeux de myope à longueur de journée.
Si je ne doute pas un instant des bienfaits économiques du libéralisme, c'est plutôt sa doctrine philosophique qui retient mon attention et m'attire. Je crois fermement au libre arbitre. Et depuis toujours, je sais que charité et solidarité sont deux mots différents. Le premier est d'essence divine et fait des merveilles, le second me semble parfois diabolique et entraîne trop souvent l'injustice et la misère.
C'est pourquoi, bien qu'auréolée de mes convictions libéralistes toutes neuves, je n'ai pas abandonné pour autant mes anciennes convictions. Je crois, que tout au fond de moi, je reste une monarchiste convaincue.
On serait tenté de me demander comment on peut concilier dans un même cerveau deux systèmes apparemment aussi antinomiques. Je répondrai simplement que moi, j'y parviens. Sans doute est-ce dû à mon imagination fébrile.
Après tout, si lorsque plongée dans un roman passionnant, je suis capable de m'identifier à des héros de papier, pourquoi ne serais-je pas capable d'être à la fois monarchiste et libérale ? L'imagination peut tout ! Alors vive le Roi et le libéralisme !
Croyez-le ou non, je suis même capable d'imaginer que mes babillages peuvent intéresser des lecteurs !
1 commentaire:
extreme droite :
monarchie
liberal
reactionnaire
chretien
faschisme:
républicain
socialiste
revolutionnaire
athé/païen/chrétien
donc ne vous inquiétez pas, vous êtes normal, monarchiste et libéral comme notre bon roy bien aimé
Enregistrer un commentaire