Je n'ai rien à dire. Il se trouve que mon blog était resté affiché à l'écran. Je le trouve bien moche. Enfin non, il est classique et plutôt élégant.
Ce que je trouve étonnant c'est que la partie sur laquelle figurent mes billets, soit aussi ridiculement petite. Tout autour, ce n'est que du gris.
Comment faire pour l'élargir ? La question est posée ! J'aurais pu aller trifouiller dans Blogger mais je ne m'en sens pas le courage. Peut-être aurais-je pu aussi trouver la réponse en interrogeant Google? Mais j'aurais du arpenter les territoires arides des forumes informatiques. Je n'en ai pas plus le courage.
Ceci dit, je me pose peut-être des questions stupides. Il n'est peut-être pas si mal ainsi mon blog. Peut-etre correspond-il étroitement à ma prose ? Je ne sais pas, je ne sais plus, je ne veux plus ! Tiens, tout ceci me fait penser à des vers de Marceline Desbordes-Valmore. Elle était née sous le signe du cancer, comme moi.
Ce que je trouve étonnant c'est que la partie sur laquelle figurent mes billets, soit aussi ridiculement petite. Tout autour, ce n'est que du gris.
Comment faire pour l'élargir ? La question est posée ! J'aurais pu aller trifouiller dans Blogger mais je ne m'en sens pas le courage. Peut-être aurais-je pu aussi trouver la réponse en interrogeant Google? Mais j'aurais du arpenter les territoires arides des forumes informatiques. Je n'en ai pas plus le courage.
Ceci dit, je me pose peut-être des questions stupides. Il n'est peut-être pas si mal ainsi mon blog. Peut-etre correspond-il étroitement à ma prose ? Je ne sais pas, je ne sais plus, je ne veux plus ! Tiens, tout ceci me fait penser à des vers de Marceline Desbordes-Valmore. Elle était née sous le signe du cancer, comme moi.
Je ne sais plus d'où naissait ma colère ;
Il a parlé... ses torts sont disparus ;
Ses yeux priaient, sa bouche voulait plaire :
Où fuyais-tu, ma timide colère ?
Je ne sais plus.
Je ne veux plus regarder ce que j'aime ;
Dès qu'il sourit tous mes pleurs sont perdus ;
En vain, par force ou par douceur suprême,
L'amour et lui veulent encor que j'aime ;
Je ne veux plus.
Je ne sais plus le fuir en son absence,
Tous mes serments alors sont superflus.
Sans me trahir, j'ai bravé sa présence ;
Mais sans mourir supporter son absence,
Je ne sais plus !
Il a parlé... ses torts sont disparus ;
Ses yeux priaient, sa bouche voulait plaire :
Où fuyais-tu, ma timide colère ?
Je ne sais plus.
Je ne veux plus regarder ce que j'aime ;
Dès qu'il sourit tous mes pleurs sont perdus ;
En vain, par force ou par douceur suprême,
L'amour et lui veulent encor que j'aime ;
Je ne veux plus.
Je ne sais plus le fuir en son absence,
Tous mes serments alors sont superflus.
Sans me trahir, j'ai bravé sa présence ;
Mais sans mourir supporter son absence,
Je ne sais plus !
Marceline Desbordes-Valmore, Je ne sais plus, je ne veux plus, Romances
2 commentaires:
C'est agréablement bien écrit...
Très belle plume. J'aime.
je découvre ce jour ce poëme qui a en son temps inspiré un certain Michel Colucci dans un de ses bons sketch. Il citait d'ailleurs l'auteur... Merci
PS: chacun a la culture qu'il mérite...
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