J'ai eu l'idée saugrenue de vouloir savoir si mon blog était classé et répertorié quelque part. Je suis donc allée sur Technorati.
Je suis classée 809 917 ième ce qui n'est pas terrible. Mon niveau d'autorité (?) n'est que de sept et je ne suis citée que neuf fois dans les autres blogs. Regardez ici.
Tout ceci n'est pas terrible. Mais je le prends bien. Grâce à la presse qui m'a tant fait peur avec cette crise financière, j'ai pris conscience de plein de choses. Je ne suis plus une petite hystérique centrée sur elle-même.
Je crois qu'avant ma prise de conscience, d'aussi piètres résultats m'auraient jetée au bord du gouffre. Après en avoir psi connaissance, je me serais précipitée dans ma chambre en claquant la porte
Je me serais jetée sur mon lit en tapant de mes petits poings sur mes oreillers de soie. Pleurant à chaudes larmes, j'aurais clamé que j'étais la plus malheureuse et mon rimmel aurait coulé tachant mes draps de satin.
Tandis que là, je me dis que ce n'est rien et qu'il y a des problèmes plus sérieux. Je pousse même le vice de la prise de conscience jusqu'à me dire que si je veux obtenir de meilleurs résultats, il me faut travailler plus et rédiger des billets plus intelligents.
J'abandonne mes idées de caste, qui m'ont toujours fait croire que le monde devait tout aux jolies petites blondes, pour m'ancrer dans la méritocratie !
Le malheur des uns fait toujours le bonheur des autres. De pauvres gens sont chassés de leurs maisons tandis que des petits blondes acquièrent une conscience (et des ballerines plates).
Merci la crise financière !
Je suis classée 809 917 ième ce qui n'est pas terrible. Mon niveau d'autorité (?) n'est que de sept et je ne suis citée que neuf fois dans les autres blogs. Regardez ici.
Tout ceci n'est pas terrible. Mais je le prends bien. Grâce à la presse qui m'a tant fait peur avec cette crise financière, j'ai pris conscience de plein de choses. Je ne suis plus une petite hystérique centrée sur elle-même.
Je crois qu'avant ma prise de conscience, d'aussi piètres résultats m'auraient jetée au bord du gouffre. Après en avoir psi connaissance, je me serais précipitée dans ma chambre en claquant la porte
Je me serais jetée sur mon lit en tapant de mes petits poings sur mes oreillers de soie. Pleurant à chaudes larmes, j'aurais clamé que j'étais la plus malheureuse et mon rimmel aurait coulé tachant mes draps de satin.
Tandis que là, je me dis que ce n'est rien et qu'il y a des problèmes plus sérieux. Je pousse même le vice de la prise de conscience jusqu'à me dire que si je veux obtenir de meilleurs résultats, il me faut travailler plus et rédiger des billets plus intelligents.
J'abandonne mes idées de caste, qui m'ont toujours fait croire que le monde devait tout aux jolies petites blondes, pour m'ancrer dans la méritocratie !
Le malheur des uns fait toujours le bonheur des autres. De pauvres gens sont chassés de leurs maisons tandis que des petits blondes acquièrent une conscience (et des ballerines plates).
Merci la crise financière !
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