dimanche 24 février 2008

Soixante-septième message !


J'avais dans l'idée de poursuivre mes divagations économiques mais je ne suis pas satisfaite du message. Je l'ai donc enregistré en brouillon et le publierai prochainement. Vous n'aurez donc le droit qu'à un message sans intérêt. Ainsi pas d'illustration murement réfléchie ; je reviens à mes premières amours.

Et puis il a fait si doux qu'une photo de sandales est d'actualité. D'ailleurs, j'ai préféré sortir que de rester coincée devant le PC. J'avais pourtant publié les deux messages précédent et j'étais lancée. Et sans savoir pourquoi je sentais que je déraillais, je n'étais pas satisfaite de moi. J'ai donc abandonné le message en cours.

Il y a une différence entre "Nunuche au pays des sciences économiques" et une conversation de "café du commerce". Je veux rester exigeante dans ma naïveté même si je pressens que mes textes précédents sont de la même veine que le "Monde de Sophie".

Enfin, si je pouvais en faisant éditer mes textes gagner autant d'argent que Jostein Gaarder, je ne serais pas mécontente. Dans le même registre un peu mièvre et tiède, ce brave Paulo Coelho ne s'en est pas mal sorti non plus.

J'imagine déjà le fil conducteur de l'ouvrage que j'ai en tête. Une sorte de discussion entre Laure, libertarienne confirmée, et une nunuche assumée, moi ! Je pourrais très bien jouer le rôle de la jeune shampouineuse un peu candide. Je ponctuerais chacune de ses réponses solidement argumentées d'un "Oh la la, Madame Laure, qu'est-ce que vous en savez des choses !". On m'imaginerait écarquillant tout grand mes yeux, ébahie de tant de connaissances !

Après la collection à succès "Pour les nuls", j'imagine déjà une collection "Pour les nunuches". On pourrait aborder tous les domaines de connaissance, économie, réparations, couture, cuisine, etc. Je pourrais même poser pour les couverture avec un joli chemisier blanc à col claudine ! A moins que je ne préfère une jolie rorobe à smocks et manches ballons.

C'est vrai qu'on n'en voit plus beaucoup de ces robes. Je les remettrais au goût du jour. Puis, je troquerais mes lentilles de myope contre une jolie paires de lunettes à montures de la sécurité sociale, et je deviendrais l'emblème de toutes celles que la nature n'a pas gâtées mais qui tentent de faire de leur mieux pour s'adapter ; l'icône peu glamour des laissées pour compte !

En attendant, plutôt que de me rêver directrice d'une collection à succès, je vais tenter de réécrire ce qui aurait du être mon "Soixante-septième message". Pour le moment, il est enregistré sous le titre "Soixante-septième message (projet). Ce sera donc mon soixante-huitième message.

Plus que deux textes et l'échéance viendra à terme. Devrai-je continuer à les numéroter ainsi ou leur donner un titre explicite à mes messages ? Je n'ai toujours pas décidé ! Et pourtant je ne cesse d'y penser. Moi aussi vous voyez, j'ai des soucis !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour ce qui est du titre des messages, pourquoi changer une formule a succes ?

Je m'excuse pour l'avalanche de commentaires, c'est plutot calme ce matin au bureau !

Anonyme a dit…

Bonjour !!
Vous avez vraiment des peutons tout a fait charmants !!!